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Pendant ce premier quadri, notre section ingénieur a le plaisir d’accueillir deux étudiantes venues de l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tarbes, Fanta Diarra et Lucie.
« Vais-je arriver à trouver ma place ? Mon niveau correspond-il à celui attendu ? » ; la mobilité internationale suppose de nombreux questionnements qui ont rapidement été derrière elles, particulièrement grâce à l’ambiance familiale qui caractérise la Haute Ecole.
Ces quelques mois sur notre campus d’Arlon sont l’occasion pour Fanta Diarra et Lucie de découvrir une autre culture mais aussi d’en apprendre plus sur les spécificités de notre formation – notamment en ce qui concerne l’électronique.
Ce séjour sera, selon les deux étudiantes, d’une grande aide dans leur choix d’orientation et de métier.
Tu es étudiant à la HERS et tu souhaites aussi profiter d’une mobilité internationale ? Retrouve plus d’infos ici.
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La défense du plurilinguisme dans le milieu scientifique était au cœur du Séminaire international de l’Université Mohammed V de Rabat qui s’est tenu début octobre. La science en français doit en effet relever de nombreux défis comme le soutien à la publication et aux revues en langue française.
Comment valoriser le français comme langue de communication scientifique ? Une journée de réflexion a donc été organisée sur le thème « Communication et médiation : la science en français en contexte plurilingue ». Différentes institutions, comme la représentation Wallonie-Bruxelles, ont rassemblé de nombreux partenaires institutionnels, des membres de la communauté scientifique et universitaire ainsi que le grand public.
Notre collègue Luc Canautte pris part à ce séminaire en tant que linguiste et didacticien du FLE (Français langue étrangère). «Par rapport à l’anglais, la situation du français en science n’est pas aujourd’hui fondamentalement différente de celle de l’allemand, de l’espagnol, de l’italien, de l’arabe ou du japonais », dit-il.
« Il ne s’agit pas de dénoncer l’usage de l’anglais ou de toute autre langue en science, bien au contraire. Il est essentiel que les scientifiques puissent communiquer entre eux. Cependant, l’emploi (quasi) exclusif d’une seule langue dans les communications scientifiques internationales pose des problèmes. »
Et le coordinateur qualité à la HERS d’insister sur l’aspect éthique. « Il importe de défendre le français dans les sciences au nom d’une éthique qui garantit la liberté de la recherche, évitant ainsi l’hégémonie d’une seule langue en matière scientifique et rééquilibrant les données de la communication mondiale. »
A charge de la francophonie de promouvoir les atouts de la langue française et d’en faire une référence dans le monde scientifique.
Dans la foulée de la journée d’accueil organisée début septembre, le Pôle académique Liège-Luxembourg a accueilli ce samedi 14 octobre une centaine d’étudiants internationaux Erasmus IN afin de participer au premier rendez-vous d’intégration culturelle et historique de l’année académique 2023-24.
Lors de cette activité, proposée en Province du Luxembourg, les étudiants Erasmus issus de toutes les institutions d’enseignement supérieur du Pôle ont effet pu découvrir notre belle Province via deux activités. En matinée découverte du cadre merveilleux de l’Abbaye d’Orval où deux visites (Anglais et Français) leur ont été proposées, un repas convivial leur a été offert à Florenville suivi d’une visite découverte et dégustation du chocolatier Edouard.
Ces étudiants ont donc pu découvrir notre « verte » Province fort différente des milieux urbains dans lesquels ils évoluent généralement. Notons encore qu’une seconde activité du même type sera proposée en Province de Liège lors du second semestre de cette année académique.
Si tu désires participer au programme Erasmus + et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
Grâce à son service des Relations internationales, la HERS continue sa démarche d’ouverture sur le monde. C’est dans ce cadre que Céline Gravé et Patrick Galliez, responsables internationaux de la Haute Ecole, ont participé à la 33e édition de l’EAIE organisée à Rotterdam du 26 au 29 septembre.
En plus de participer à des ateliers formatifs, le service international a eu l’occasion, lors de cet événement, de rencontrer de nouveaux partenaires potentiels en vue de l’élargissement des possibilités de mobilité internationale.Grâce à l’appui de Wallonie-Bruxelles International, ils ont profité d’un stand conjoint entre universités et hautes écoles de Belgique francophone afin de recevoir nos partenaires.
Plus de 6.700 personnes venues d’une centaine de pays différents étaient présentes à cet événement.
Lors de la journée du 26, Patrick Galliez a également participé à une Open House organisée par notre partenaire de la Hogeschool d’Utrecht. Sa présence visait d'une part à solidifier le partenariat déjà existant et d'autre part, à envisager d’autres pistes de collaboration pour le futur.
Une semaine donc riche en expériences internationales au service non seulement des étudiants mais également du personnel de la HERS pouvant bénéficier de missions internationales d’enseignement ou de formation.
Si tu désires participer au programme Erasmus + et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter Céline Gravé et Patrick Galliez au sein du Service des Relations internationales :
Passionné par les langues étrangères, Théo, étudiant en bac 3 du Bachelier en Management du tourisme et des loisirs a réalisé son stage de fin d’études à Gand. Une expérience rendue possible grâce à Erasmus Belgica, une initiative visant à encourager la mobilité des étudiants de l'enseignement supérieur au sein des trois Communautés de notre pays. « Je me suis lancé ce défi afin d’améliorer mon néerlandais mais aussi vivre une nouvelle expérience. Comme je désirais découvrir le monde de l’hôtellerie, j’ai décidé de faire mon stage chez Astoria Hotel Gent et je n’ai aucun regret », explique Théo.
Cet hôtel, situé dans un quartier chaleureux à proximité de la gare Gand-St-Pierre, affiche 3 étoiles et compte 30 chambres. « Il s’agit d’un établissement familial dirigé par deux propriétaires qui sont frère et sœur. Au cours de ces quatre mois (de février à mai), j’ai effectué différentes tâches qui m’ont permis d’acquérir de nouvelles compétences. Je me suis occupé entre autres de la communication digitale de l’hôtel, de la préparation du buffet du petit-déjeuner, du contrôle des chambres. J’ai aussi découvert les spécificités de la réception. Autant dire que ce n’était pas de tout repos mais c’était varié et intéressant. De plus, j’étais soutenu par une équipe serviable et à l’écoute. »
Une expérience que notre étudiant du département économique n’est pas prêt d’oublier. « J’ai pu me prouver que j’étais capable de réaliser de nouvelles choses, cela m’a donné plus de confiance en mes capacités », dit-il.
Histoire de profiter au maximum de cette expérience, Théo n’a pas hésité à participer à de nombreuses activités sportives et culturelles afin de rencontrer de nouvelles personnes, il a également pu compter sur une chouette famille d’accueil. « Ce sont des souvenirs que je ne suis pas prêt d’oublier, je recommande à tout le monde de se lancer dans ce type d’aventure. »
Si toi aussi, tu désires participer aux différentes programme Erasmus n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
Des étudiants de la section Éducateur spécialisé ont profité d’une bourse d’échange Erasmus pour vivre quelques mois de l’autre côté de l’Atlantique. Ils ont posé leurs valises dans la province de Québec et plus précisément à Salaberry de Valleyfield.
Une expérience enrichissante sur différents aspects. « J’ai eu la chance de découvrir une nouvelle culture et un autre aspect du métier d’éducateur spécialisé. J’ai réalisé mon stage dans un Centre de la Petite Enfance où j’ai découvert une nouvelle technique : Highscope. Cette approche place l'enfant au cœur des apprentissages en utilisant principalement le jeu », commente Mathilde.
Notre étudiante de Bac 3 a aussi été marquée par les relations professionnelles, plus faciles à tisser au Canada qu’en Europe. « Le fait que tout le monde s’appelle par son prénom et se tutoie rend les relations plus amicales », dit-elle.
Un sentiment partagé par Tristan qui a aussi été marqué par la manière dont les étudiants sont suivis. « C’est plus encadré ici. Les professeurs nous rencontrent chaque semaine dans des supervisions, les travaux sont étalés sur la session au complet. Au niveau des infrastructures, c’est typiquement nord-américain. Tout est pensé pour et par les étudiants. Ils sont rénovés régulièrement. De plus, énormément d’activités sont proposées gratuitement aux étudiants, ce qui m’a permis de rencontrer du monde. »
Mathilde aurait souhaité « avoir un parrain ou une marraine sur place pour nous guider, nous renseigner sur les activités mais également avoir plus de contacts sociaux. Le fait d’être en stage ne nous a pas permis de rencontrer beaucoup d’autres étudiants du CEGEP (Collège d'enseignement général et professionnel) ».
Quant à Salaberry de Valleyfield, surnommée la « Venise du Québec », s’y déplacer sans ses propres moyens, a été quelque peu contraignant mais cela n’a pas empêché certains étudiants de visiter Montréal, Québec et même New York. Au final, ce séjour restera à jamais gravé dans les mémoires.
Enfin pour ceux et celles qui seraient tentés par un séjour au Canada, il est utile de savoir que le coût de la vie est relativement élevé. Sans bourse Erasmus, une telle expérience aurait été tout simplement impossible. « La vie est très chère, il y a beaucoup de taxes. Par exemple, le fromage coûtait minimum 8 dollars canadiens, cela a fait mal à mon petit cœur de Française », sourit Mathilde.
Pour Tristan, le chemin est tout tracé. « Je compte bien revenir ici pour travailler. Le grand air, les gens chaleureux et les conditions de vie me semblent bien plus adaptées à ma vision du travail de l’éducateur qu’en Belgique. »
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Étudiant de Bac 3 en Assistant de direction, Jean-Cyrille a séjourné 3 mois en Irlande grâce à un stage au sein de l’Atlantic Language School de Galway, une école privée qui propose des cours d'anglais. Une expérience unique et enrichissante.
«J'occupais la position de réceptionniste et assistant académique. J'étais en première ligne pour aider les étudiants à résoudre leurs problèmes et questions, organiser des excursions, créer des affiches, gérer le téléphone et le courrier entrant et sortant, gérer la caisse, faire de l'interprétariat pour des étudiants (en français et néerlandais)», explique Jean-Cyrille.
Parallèlement à ce travail, notre étudiant du département économique supportait l’Academic Manager dans la mise en place du planning et l’organisation d’événements. Au niveau logistique, Jean-Cyrille logeait dans une résidence au côté de Brésiliens, Japonais, Polonais ou encore Suisses.
«J’ai eu l’occasion de travailler mes compétences linguistiques, communicationnelles et interpersonnelles. Je suis désormais conscient que je suis capable de travailler dans un environnement totalement nouveau et anglophone. J'ai appris à communiquer en utilisant leur termes et expressions. Ce qui me paraissait bon ou bien ne l'était pas nécessairement ailleurs. J'en sors grandi et avec une corde de plus à mon arc. Si c'était à refaire, je resignerais directement!»
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