COVID-19 : LA HERS ADAPTE LES AXES DE SON PLAN STRATÉGIQUE !
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Des étudiantes Bac 2 de la section langues germaniques du campus de Virton ont effectué un voyage à Belfast de 5 jours dans le cadre du stage culturel. « Après avoir étudié l’Irlande du Nord lors du cours de culture, les élèves ont été amenées à découvrir l’Irlande du Nord et Belfast au travers de nombreux aspects : historique, géographique, culturel et culinaire. Le tout dans une perspective pédagogique», précise A-S Richard, Maître-assistante en langues germaniques.
Tout d’abord, les élèves ont pu découvrir la campagne irlandaise, ses villages de pêcheurs, ses distilleries, ses châteaux et le site naturel unique de la Chaussée des Géants. Cette formation volcanique se compose de 40 000 colonnes verticales de forme hexagonale en basalte, dont la hauteur peut atteindre jusqu’à 12 mètres ! Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, elle attire chaque année des millions de visiteurs.
Ensuite, les élèves ont été amenées à créer des leçons en anglais et en français en vue de faire découvrir la culture belge aux élèves de la Belfast Royal Academy durant une journée. Pour atteindre cet objectif, les étudiantes avaient préparé des séquences de leçons et avaient étudié le système scolaire britannique. Elles ont également eu l’opportunité d’assister à plusieurs leçons données par les professeurs de l’académie et comparer les méthodes d’enseignement en Belgique et en Irlande du Nord. Après cette journée bien remplie, les étudiantes ont foulé la piste de dance et ont appris le Céilí qui est un type de danse traditionnelle irlandaise en couple ou en formation (ligne, cercle, carré...)..
Le lendemain, l’histoire fut au rendez-vous avec une visite guidée des fresques murales de Belfast qui sont le marqueur le plus visible de la frontière virtuelle qui existe entre les deux principales communautés d’Irlande : d’un côté les unionistes / loyalistes, protestants, fidèles à la Couronne d’Angleterre ; de l’autre les nationalistes / républicains, catholiques, favorables à l’union avec la République d’Irlande. Belfast est également connue pour avoir été le lieu de la construction du Titanic, paquebot ayant fait naufrage en 1912 et dont l’histoire est retracée au musée Titanic Belfast.
Pour conclure ce voyage en beauté, les étudiantes ont assisté à la pièce de théâtre « The Ocean at the end of the lane » de Neil Gaiman au Grand Opera de Belfast.
« Le but de ce projet était de donner l’envie et le goût de voyager mais aussi de s’ouvrir et de rechercher des informations sur une autre culture. Ce projet a également permis de découvrir d’autres méthodes pédagogiques et de créer un partenariat avec une école anglophone », conclut A-S Richard .
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Le Job Day organisé le 21 mars à destination des étudiants de 2e année du Bachelier en construction option technologie du bois a suscité intérêt et engouement de la part des entreprises mais aussi du côté de nos étudiants.
Durant la matinée, Gablok, Pro-Energie, Menuiserie Maquet, Thitem, Tralux, Picard Construct, QBuild et Mobalpa ont eu l’occasion de présenter leurs activités mais aussi mettre en avant leurs chantiers les plus emblématiques et les possibilités de stages et d’emplois au sein leur structure.
Ces différentes présentations ont été complétées par les témoignages d’anciens étudiants de la HERS et par un moment d’échanges entre les entreprises et nos étudiants du département sciences et technologies.
Une édition qui en appellera certainement d’autres.
Le Printemps des sciences, c’est le rendez-vous technologique et scientifique à ne pas manquer. Durant une semaine les élèves de primaire et de secondaire peuvent participer à des ateliers organisés par les institutions supérieures. Chaque année, la Haute École Robert Schuman campus d’Arlon y participe, et pour la deuxième année consécutive, les AESI se sont joints à eux afin de proposer toute une série d’activités ludiques.
Pour cette édition, le thème retenu était la diversité. Un thème assez vaste, qui a su charmer les AESI-mathématiques, les AESI-Français, les AESI-Science et les AESI-Sciences humaines. Chaque section a vu dans ce thème un beau défi à relever. Après quelques semaines de préparation, l’aventure a pu commencer!
Et d’aventures, il en a été question, grâce à l’activité préparée par les AESI-Sciences humaines. Les étudiants ont proposé aux enfants un voyage autour du monde pour découvrir la diversité de modes de vie. C’est au travers d’un jeu de plateau inédit que les enfants ont pu découvrir des notions géographiques, historiques et sociétales. Ils ont notamment pu découvrir ce qui se cachait derrière l’indice Big Mac, et mon petit doigt me dit que vos petites têtes blondes ne dégusteront plus jamais leur fastfood de la même façon.
Tiens en parlant de fastfood et de viande, pensez-vous qu’un expert boucher sera plus compétent pour estimer le poids d’un cochon qu’une foule populaire ? C’est à cette question que les enfants ont dû répondre en se prêtant eux aussi au jeu de l’estimation. Cet atelier qui, à première vue, était centré sur les mathématiques a donné la part belle aux AESI-français. En effet, pour pouvoir comprendre une théorie mathématique, il est essentiel de bien comprendre le lexique. C’est ainsi que, nos étudiants AESI-français ont proposé des activités autour de l’étymologie et des champs lexicaux. Une belle réussite interdisciplinaire qui prouve que les maths et le français peuvent être complémentaires !
Et les AESI sciences dans tout ça ? Pas d’inquiétude, nos irréductibles scientifiques étaient bien présents, dans un royaume lointain. En effet, c’est un voyage à Poudlard qui a été proposé aux enfants. Comment créer des potions magiques comme le font Horace Slughorn et Severus Rogue ? Les enfants du primaire ont pu s’adonner à toute une série d’expériences scientifiques afin de comprendre la notion de séparation des fluides. Comme la matière est complexe, les étudiants en AESI-Science ont concocté un Genially qui reprend toutes les informations : Harry à L’École des appRentis Sorciers (genial.ly) (c’est cadeau !)
En plus des activités proposées par les étudiants du campus pédagogique de Virton, les enfants ont pu participer à toute une série d’ateliers proposés par les étudiants et les équipes pédagogiques d’Arlon. Ils ont notamment pu jouer au Puissance 4 contre une intelligence artificielle, programmer un robot, s’exercer sur un circuit électrique, découvrir les différents arômes et à quoi servent les équipements de protection individuelle (EPI).
Bref, le Printemps des sciences, c’est une semaine folle en expériences et en aventures que les enfants et les étudiants ne sont pas prêts d’oublier ! Promis, on se donne rendez-vous en 2024 !
La 16e édition du Printemps de l’éthique est programmée le vendredi 28 avril au Centre culturel de Libramont. Comme chaque année, des conférences et des moments de pause rythmeront la journée.
Parmi les intervenants, Jean-Michel Longneaux (philosophe et professeur à l’Université de Namur), Patricia Paperman (sociologue et professeure émérite à l’Université Paris VII) ainsi qu’Alain Loute (éthicien, philosophe et professeur à la faculté de médecine à l’UC Louvain), proposeront leur vision du soin.
Emilie Gleason (artiste et dessinatrice de BD), Véronique Daine (poétesse et écrivaine) et Emilie Meessen (infirmière, fondatrice de l’ASBL Infirmiers de rue) vous proposeront également leurs témoignages sur le soin.
A découvrir également, le reportage « Un temps d’écoute à l’écoute du temps » réalisé par Christelle Collin (journaliste à TV Lux) et Cécile Bolly (médecin et psychothérapeute).
Pour permettre aux participants de se ressourcer, une pause musicale est programmée à 11h par Jean Litt et Victor Foulon et pour conclure la journée, place à « La bête », un spectacle proposé par Céline Lanoire et Rebeca Fernandez Lopez à partir de 15h30.
Inscriptions jusqu’au 21 avril via 16ème Printemps de l'éthique - 2023 (hers.be).
« Trouver un produit "innovant", en faire une étude de marché et ensuite un business plan complet », voilà en quelques mots l’objectif recherché par la campagne Young Enterprise Project (YEP) organisée par Les Jeunes Entreprises.
Une opération qui met en avant plusieurs "softskills" et qui développe aussi l'esprit d'entreprendre des étudiants. Concrètement, plusieurs séances de cours sont animées par des experts extérieurs afin de leur donner les outils nécessaires à la réalisation du travail.
Par la suite, les étudiants préparent et peaufinent leur projet avant de prendre part à la défense orale devant un jury extérieur. En fonction des résultats, certains groupes ont la possibilité de participer à différentes finales : belge, européenne et éventuellement mondiale.
La journée YEP regroupe les différents étudiants qui suivent le programme avec comme ambition de les « former un peu plus » via les conférences et les ateliers et de les « challenger » grâce aux entretiens avec les experts. Jean-Christohe Hick a notamment accompagné les bac 2 de la section Informatique dans le cadre du cours Organisation des Entreprises.
« C'est la deuxième fois que j'utilise ce programme (le premier avec les BCB3 au Q1). Les étudiants semblent accrocher et découvrent un intérêt en apprenant autrement », dit-il. Au final, quelle que soit la matière enseignée, le YEP assure le lien entre les cours théoriques et le monde du travail.
Outre les bac 2 de la section informatique et les bac 3 du bachelier en construction bois, les étudiants du bachelier et du master en Ingénieur industriel ont participé mi-mars à l’Innovation Camp en collaboration avec Deloitte. Deux étudiants du campus d’Arlon ont été sélectionnés par le jury pour leurs idées et le speech présenté .
Plus d’infos sur le programme yep
Vous n’y avez pas échappé : les études pour devenir enseignant-e-s préscolaire, primaire ou secondaire inférieur passeront de 3 ans à 4 ans… Bonne ou mauvaise nouvelle ? On vous aide à décrypter l’info !
En communauté française, plus de 40% des enseignants abandonnent la profession dans les 5 premières années. Un taux impressionnant qui s’explique par différents facteurs, dont le manque d’accompagnement et de préparation aux tâches administratives, l’évolution de la société et à l’intégration des technologies.
Pour renverser cette courbe, la fédération Wallonie-Bruxelles a décidé de mettre en place une réforme de taille afin de pouvoir répondre au mieux aux enjeux de notre société et rendre plus efficace notre enseignement. Une avancée significative qui aura sans nul doute des implications notables sur le quotidien de nos futurs étudiants. On vous aide à décrypter l’information.
À partir de septembre 2023, la durée des études passe de trois à quatre ans et à l’issue de celles-ci, les étudiants seront en possession d’un master en enseignement.
Les noms des formations vont également changer, ils sont remplacés par les master en enseignement : des sections 1 à 5.
La particularité de ce découpage offre la possibilité d’enseigner en maternelle et en primaire ou en primaire et en secondaire. Les 3 premières sections seront organisées par les Hautes Écoles avec une participation de l’Université dans les apprentissages, aussi bien théoriques que pratiques, tandis les sections 4 et 5 seront organisées par l’Université avec une participation des Hautes Écoles dans les apprentissages.
Une année supplémentaire présentée à nombreuses reprises comme un poids, une surcharge inutile. Mais est-ce vraiment le cas ? Si on y regarde de plus près, une série d’avantages découlent de cette année supplémentaire.
Une année de plus, oui, mais surtout une revalorisation du diplôme d’enseignant. D’un bachelier professionnalisant, nos étudiant·e·s obtiendront un master en enseignement. Une avancée notable qui permettra, sans nul doute, une revalorisation et une attractivité de la profession.
Qui dit une année supplémentaire, dit stages supplémentaires, et qui dit stages supplémentaires dit formation de meilleure qualité. De fait, grâce à cette année supplémentaire, les étudiant·e·s pourront bénéficier d’un meilleur encadrement et accompagnement. En outre, les étudiants auront l’occasion de tester un stage long, qui leur permettra de découvrir tous les aspects du métier d’enseignant. Ce qui permettra aux futur·e·s enseignant·e·s d’appréhender le monde du travail de manière beaucoup plus sereine, en étant notamment formé·e·s aux contingences administratives liées au métier de l’enseignement.
Une année supplémentaire dans le cursus des étudiant·e·s, c’est également l’occasion de changer d’axe paradigmatique. Alors qu’anciennement, les enseignant·e·s en instituteur préscolaire, primaire et secondaire étaient centré·e·s sur un public précis, ils auront dorénavant une chevauchement de public, ce qui favorisera la continuité des apprentissages et permettra de faciliter les différentes transitions.
La maitrise de la langue, parlons-en. Ça aussi, ça n’a pas dû vous échapper : « les futurs étudiant·e·s vont être forcés de passer un test d’admission en maitrise de la langue française… ». On vous rassure, le test existera, mais il sera diagnostic et dispensatoire ! Ce qui permettra aux enseignants de mettre en exergue les difficultés concrètes des étudiants et de travailler avec eux afin qu’ils puissent acquérir une meilleure maitrise de la langue française, tant dans son aspect discursif que normatif.
Cette masterisation permettra aux futur.e.s étudiant.e.s d’appréhender au mieux des sujets de société importants pour l’entrée dans le métier et d’approfondir les connaissances dans les matières à enseigner tant d’un point de vue scientifique que didactique.
Pour mettre en place cette réforme, la Haute École Robert Schuman s’est associée avec une université. Sans la moindre hésitation, la Haute École s’est tournée vers l’Uliège. Cette collaboration entre Hautes Écoles et Université est envisagée dans la perspective d’une complémentarité des expertises.
D’un côté, les Hautes Écoles et leur savoir-faire en matière de formation des enseignants et de connaissance du terrain et de l’autre, les Universités et leur approche scientifique.
L’Uliège prendra en charge une partie de la formation des S1, S2 et S3. Pas d’inquiétude, tous les cours se dérouleront dans l’établissement de référence – dans notre cas, la HERS. Pour les S1 et S2, vu la proximité géographique, des accords de coorganisation ont été passés avec l’Université de Luxembourg, ce qui permettra à nos étudiants d’être en lien direct avec le Grand-duché de Luxembourg. Une belle opportunité pour l’ensemble de nos étudiants !
Dès septembre 2023, 12 masters en enseignement sont proposés par la HERS
Section 1 : 2,5 ans – 2e primaire
Section 2 : 3e maternelle – 6e primaire
Section 3 : 5e primaire – 3e secondaire
Vous vous posez des questions sur les études supérieures ? Vous êtes en quête de réorientation ? Vous avez encore des doutes sur certaines formations ? La Haute École Robert Schuman est à vos côté et vous attend le samedi 22 avril lors de sa Journée portes ouvertes.
De 9h à 17h, nos enseignants et étudiants vous attendent sur nos différentes campus : Arlon, Libramont et Virton.
Outre des rencontres, vous aurez l'occasion de tout savoir sur les cours, les stages, les projets uniques, les passerelles et les débouchés.
Les secrétariats des départements économique, pédagogique, santé, sciences & technologies et social se tiennent à votre disposition pour tout renseignement (horaire, inscription,…).
Une occasion idéale de découvrir nos masters, bacheliers ainsi que nos spécialisations.
Département Sciences et Technologies :
Département social :
Département économique (061/23.04.97) :
Département santé (061/22.29.91) :
Département Sciences et Technologies (061/23.04.80) :
Département pédagogique :