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Une expertise pour répondre aux besoins de la société
Depuis septembre 2021, l’Université de Liège, la Haute École HELMo, la Haute École Robert Schuman et la Haute École de la Province de Liège organisent conjointement un Master en Sciences infirmières en 120 crédits.
Accessible aux détenteurs d’un Bachelier infirmier responsable de soins généraux ou équivalent, cette formation présente l’avantage d’être organisée en horaire décalé. Elle propose également un enseignement hybride (présentiel-distanciel). Les cours se donnent principalement sur le campus du Sart Tilman de l’ULiège avec une majorité d’activités en ligne.
Un jour en présentiel et le reste des activités en distanciel, soit synchrone, soit via des podcasts disponibles en ligne. Ces modalités mixtes permettent de suivre le master tout en poursuivant des activités professionnelles à temps partiel.
Pour les détenteurs de ce master, de nombreuses opportunités professionnelles sont possibles. Outre l’accès au doctorat et à une carrière dans le domaine de la recherche, les diplômés pourront accéder à différentes fonctions : chargé(e) du suivi de patients chroniques en collaboration avec un médecin spécialiste, coordinateur(trice) de soins de santé, gestionnaire de programme de recherche ou d’expertise, enseignant dans le domaine des soins infirmiers ou des sciences infirmières.
Plus d’informations sur cette formation organisée conjointement par l’ULiège, HELMO, HEPL et la HERS : https://hers.be/etudes-et-formations/libramont/master-sciences-infirmi%C3%A8res
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Cette opération, mise en place par le cabinet d’audit et de conseil britannique, permet à l’entreprise de recruter chaque année des assistants. Pour nos étudiants en Assistant(e) de direction du site de Libramont, cette immersion était très instructive avant de postuler éventuellement pour un stage. Travailler pour ce type de société représente en effet une opportunité d’évoluer dans un contexte international.
Léa Prijot et Chloé Trevisanut souhaitaient améliorer leur niveau d’allemand. C’est pour cette raison que leur choix s’est porté sur l'Autriche et plus particulièrement Vienne. « Pourquoi ? La ville est réputée pour sa taille, sa propreté et sa sécurité, ainsi que pour sa culture. Le nombre de choses à faire et à voir dans la ville ou ses environs, est hallucinant. Nous savions donc dès le départ que nous n’allions pas être déçues », commentent-elles.
La préparation du séjour n’a pas été un long fleuve tranquille. Outre la recherche d’un logement et la constitution du dossier, les deux étudiantes AESI Langues germaniques ont dû adapter leur cursus, elles ont pu bénéficier du service international de la HERS et de l’équipe de la Hochschule de Vienne.Dès leur arrivée, la Pädagogische Hochschule (PH) a mis sur pied une semaine d’orientation, l’occasion de découvrir les futurs camarades Erasmus, l’école et la ville. Une intégration sans embûche. Quant aux cours, hormis le cours d’allemand, ils étaient dispensés en anglais.
Si la crise sanitaire a quelque peu perturbé la bonne organisation des cours durant trois semaines, les deux étudiantes du département pédagogique de la HERS ont profité de cette période de confinement pour visiter la capitale autrichienne. « Cela s’est mieux déroulé qu’on ne l’imaginait et puis visiter des parcs en solitaire, ça reste chouette ! » Elles ont donc été marquées par la propreté des lieux. «La vie est agréable et malgré le fait que Vienne soit une (très) grande ville, on se sent plus en sécurité que par chez nous. »
Quant à l’architecture, la « Ville de la musique » affiche fièrement ses plus beaux joyaux. « C’est juste incroyable. Dans le centre, tout est beau et rempli d’histoire, on rencontre des monuments intéressants à chaque coin de rue : la cathédrale St-Etienne, l’opéra, les musées, l’hôtel de Ville, le bâtiment du Parlement ou encore le château de Schönbrunn. » Nos futures diplômées de Virton ont également profité de la féérie de Noël. « Décorations, sapins et marchés… vin chaud et punch… tout était au rendez-vous. C’était juste magique. Ce voyage Erasmus a été exceptionnel et très enrichissant. Nous avons appris énormément de choses et ressortons grandies de cette expérience. »
Si toi aussi, tu désires participer au programme Erasmus + et vivre un séjour à l’étranger, n’hésite pas à contacter le Service des Relations Internationales :
Depuis plus de 10 ans, des étudiants Bac 3 de la section Bachelier Instituteur préscolaire et Instituteur primaire réalisent un stage spécifique au Sénégal. Après une pause de deux ans pour cause de crise sanitaire, 34 étudiantes ont pris leur quartier dans la région de M’Bour, à 80 km au sud de Dakar, du 18 au 28 mars.
Arrivées à l’aéroport de Dakar, les étudiantes de la HERS, accompagnées de deux professeurs, ont été exposées d’entrée au choc culturel. En effet, l’écart entre les deux couches sociales, riches et pauvres, est énorme. Ce ressenti s’est intensifié lors des visites culturelles. Elles ont notamment découvert le commerce sénégalais à travers les différents marchés artisanaux où les autochtones vendent différentes sortes de produits manufacturés : tissus, bijoux, sculptures en bois... L’activité principale des M’Bourois tourne autour de la pêche. Direction le port de la ville où une grande partie des poissons est exportée vers le Portugal et la France. L’autre partie est vendue sur les marchés locaux par les femmes des pêcheurs.
Parallèlement aux visites culturelles, la délégation de la HERS a été confronté à l’enseignement sénégalais au travers d’un stage d’une semaine dans différents établissements : l’école élémentaire publique Keur Déthié, une « école de brousse » située à Sinthiou Mbadane, l’école Serrere Kaow à l’entrée de M’Bour et l’écolematernelle Yeewu Yeete. Après la traditionnelle journée d’observation, les étudiantes ont pris en charge leur classe jusqu’à la fin de la semaine. Originalité du stage et nouveau choc… pédagogique : une étudiante préscolaire prend en charge une classe en collaboration avec une étudiante primaire.
Chaque classe regroupe en moyenne 40 à 50 enfants, et même 85 dans certains cas. Les établissements disposent de matériel rudimentaire, la pédagogie y est très différente de celle découverte lors de leurs études à Virton. Toutes ces différences ont ouvert l’esprit de nos futures diplômées, elles ont découvert que l’enseignement ne dépend pas uniquement du matériel dont on dispose mais surtout de la qualité et de l’investissement de l’enseignent.
Pour conclure, ce stage spécifique a été une expérience bénéfique et émouvante. Il a donné aux étudiantes un aperçu de la culture et de l’enseignement au Sénégal. Des échanges qui ont changé leur vision des choses.
Après deux années de pause pour cause de crise sanitaire, la semaine professionnelle a pu se dérouler normalement. Nos futurs Ingénieurs industriels d’Arlon ont eu l’occasion de visiter différentes sociétés.
Le Campus Automobile, implanté sur le site du Circuit de Spa-Francorchamps, est un centre spécialisé dans les formations technologiques dans le secteur des sports moteurs, de l’industrie automobile et des technologies propres. Ce Campus est une vitrine technologique qui gagne à être découvert. Grâce à leurs outils technologiques de pointe, les Centres de compétence vont au-delà de la formation au sens strict et sont aussi devenus une plateforme technologique ultra moderne. Pour compléter leur cursus, nos étudiants ont eu l’occasion de suivre deux formations : sur l’ADAS : véhicule autonome par Marc Nélis et sur la technologie des VEH par Jean-Michel Wilmotte.
Ces deux séances ont enrichi leur apprentissage sur la maîtrise des énergies, la protection de l’environnement ainsi que la nécessité de concilier mobilité et empreinte écologique.
Emerson Climate produit des compresseurs de technologie « Scroll ». Il s’agit d’une division du groupe américain Emerson, acteur majeur des techniques de conditionnement d’air. La visite était centrée sur les laboratoires de compresseurs dédiés à des solutions de réfrigération et de climatisation pour le commerce et l’industrie.
La première partie de la visite a permis à nos étudiants de découvrir comment la société teste ses compresseurs pour différents liquides frigorigènes, ainsi que les dernières innovations des ingénieurs dans ce domaine. La découverte de la phase de fabrication a permis visualiser l’assemblage des compresseurs à partir des différentes pièces fabriquées dans leur atelier. Nos futurs ingénieurs ont été sensibilisés à l’aspect sécurité dans la chaine de production que ce soit sur les différents postes avec opérateurs ou sur les zones robotisées.
La visite s’est clôturée par un tour de table avec un ancien étudiant de la HERS.
Le SIRRIS est le centre collectif de l’industrie technologique. Au cours de cette rencontre, les étudiants ont pu découvrir différentes pièces conçues par l’ « Additive Manufacturing » et observé de grandes différences entre les matériaux (polymère, céramique et titane).
Certaines pièces sont impossibles à réaliser avec des technologies classiques, c’est pourquoi pour tirer une plus-value de l’impression 3D, il est important d’en intégrer les possibilités dès la conception du produit. La technologie par addition ou par couches successives, plus connue sous le terme d’impression 3D, évolue et elle s’oriente de plus en plus souvent vers l’industrialisation.
Initialement, on iimprimait que des polymères mais la technologie actuelle rend possible l’impression de composants métalliques complexes. Nos futurs diplômés ont pu découvrir les différentes machines et systèmes utilisés au SIRRIS, comme la réalisation d’une pièce avec le dépôt de métal par laser.
Cette société a été créée en 2010 à la suite de recherches menées au sein de l’ULG. Elle développe des produits qui déterminent en temps réel la capacité des lignes à haute tension, en les équipant de capteurs autonomes et connectés. Grâce à des applications software, l’entreprise permet d’optimiser en temps réel l’utilisation des réseaux électriques. Les applications principales sont l’augmentation de la capacité d’accueil d’énergie renouvelable et l’interconnexion entre les réseaux.
Cette visite, avec l'apport d'AGORIA, a permis de mettre en évidence la polyvalence de notre formation, un atout important pour la société AMPACIMON.
Depuis plus de 30 ans, le Laboratoire de Thermodynamique de l'Université de Liège mène des activités de recherche numérique et expérimentale dans le domaine des systèmes thermiques et énergétiques. Les principaux domaines de recherche sont la réfrigération, les machines volumétriques (turbines et compresseurs), les turbomachines, la physique du bâtiment et les systèmes HVAC, la combustion, les moteurs à combustion interne, les échangeurs de chaleur et les cycles organiques de Rankine à petite et moyenne échelle.
Outre la visite du Laboratoire de Thermodynamique, nos étudiants ont été informés sur les différents travaux en cours de ce service (banc d’essai pour climatisation de véhicule électrique, pompes à chaleur, étude du cycle frigorifique au CO2 et du cycle organique de Rankine, performances du compresseur diphasique, tests en chambre climatique, moteur à combustion ou encore étude des performances énergétiques d’un système de chauffage résidentiel équipé de piles à combustibles).
Les activités du laboratoire d'hydraulique concernent la modélisation expérimentale ainsi que le développement de nouvelles approches hybrides numérique/expérimental appliquées à l'analyse des écoulements dans l’environnement naturel et construit. Elles s’inscrivent notamment dans les thématiques de la conception et le dimensionnement des ouvrages hydrauliques, la prévention et la gestion du risque d’inondation ou encore l’hydroélectricité et ses impacts environnementaux.
Nos étudiants ont notamment été sensibilisés à l’importance des similitudes lors des mises à l’échelle d’un barrage. Ils ont ensuite eu l’opportunité de voir en fonctionnement un modèle à l’échelle 1/1 d’un seuil de réoxygénation en rivière, solution permettant de lutter contre l’appauvrissement en oxygène de l’eau provoquée par un barrage, par exemple.
Autre sujet traité : les modèles à l’échelle de grands barrages sur lesquels ont été réalisés des mesures de caractérisation des conditions de restitution en crue.
Les étudiants et les équipes pédagogiques des AESI-Sciences, AESI-Sciences humaines et des AESI-Mathématiques de la HERS ont participé pour la première fois au Printemps des sciences avec comme thème l’exploration.
Ce rendez-vous technologique et scientifique, qui s’est tenu cette année du 21 au 27 mars, a accueilli des élèves de primaire et de secondaire.
Différents ateliers ont été organisés par le campus d’Arlon mais pour cette édition 2022, les AESI se sont joints à eux afin de proposer une série d’activités ludiques. Les futurs enseignants en mathématiques, sciences et sciences humaines ont développé un thème commun basé sur l’exploration spatiale, ils ont pu bénéficier de l’aide de la fusée Sunny-Moony! Deux animations ont été pensées pour les stagiaires.
Première étape: le lancement de la fusée Sunny-Moony avec pour mission la réparation d’un panneau solaire endommagé. Pour ce faire, les AESI-sciences et AESI- mathématiques ont proposé un atelier qui permettait de comprendre comment sont lancées les fusées et comment fonctionne la structure géométrique des satellites.
Deuxième étape: la découverte de notre système solaire. Pour cet atelier, les AESI-sciences humaines ont utilisé une application de réalité augmentée. Une chouette manière de découvrir les noms et les caractéristiques des planètes qui composent notre système solaire. A l'issue de cette semaine, élèves ou étudiants étaient unanimes. Cette édition du Printemps des sciences était une grande réussite et tous sont prêts à remettre le couvert lors de la prochaine édition.
Reportage disponible ici
Les étudiants de Bac 3 de la section kiné vous donnent rendez-vous ce dimanche 1er mai à la rue de la Cité sur le campus de Libramont pour leur traditionnelle allure libre. Au programme deux circuits de 6 et 12 km en marchant ou en courant, le but étant de franchir la ligne d’arrivée. Les bénéfices de cette manifestation serviront à financer un projet social.
Pour cette édition 2022, l’objectif est d’offrir un stage sportif dans la région du Mont Blanc à des personnes porteuses d’un handicap. Neuf patients, victimes de handicaps moteurs (AVC, sclérose en plaque ou maladie de Parkinson), seront encadrés par des étudiants en kiné, une infirmière, deux enseignants et un neurologue.
Du 7 au 14 mai, ils vont pouvoir s’adonner à différentes activités comme la randonnée en montagne, le parapente, l’accrobranche ou encore l’escalade. Un défi de taille pour ces femmes et ces hommes. Et pour nos étudiants, cette expérience leur offrira une meilleure compréhension des personnes à besoins spécifiques mais aussi une dimension humaine à la pratique de la kinésithérapie.
Pour soutenir cette cause, rendez-vous ce dimanche 1er mai sur le campus de Libramont, Rue de la Cité 64. Départ à 10h.