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Pendant ce premier quadri, notre section ingénieur a le plaisir d’accueillir deux étudiantes venues de l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Tarbes, Fanta Diarra et Lucie.
« Vais-je arriver à trouver ma place ? Mon niveau correspond-il à celui attendu ? » ; la mobilité internationale suppose de nombreux questionnements qui ont rapidement été derrière elles, particulièrement grâce à l’ambiance familiale qui caractérise la Haute Ecole.
Ces quelques mois sur notre campus d’Arlon sont l’occasion pour Fanta Diarra et Lucie de découvrir une autre culture mais aussi d’en apprendre plus sur les spécificités de notre formation – notamment en ce qui concerne l’électronique.
Ce séjour sera, selon les deux étudiantes, d’une grande aide dans leur choix d’orientation et de métier.
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La semaine s’annonce chargée pour la section Assistant de direction de la HERS avec les Journées professionnelles programmées ces mercredi 22, jeudi 23 et vendredi 24 novembre.
En guise de mise en bouche, les Bac 2 AD et France-Lise Caron ont organisé ce lundi une journée de formation au logiciel comptable Horus à destination des BAC 3 AS et Bac 3 en comptabilité.
À partir de mercredi, les étudiants de la section débattront avec différentes personnes et sociétés sur le rôle de l’Assistant(e) de direction.
A l’agenda de la semaine, figurent entre autres des rencontres avec Philippe Dachelet (cohésion de groupe), Manon Mangin (Vivalia), Auxane Leclerc, Jean-Yves Duthoit (commune de Neufchâteau), Mélissa Defrenne (Assistante juridique), Stéphanie Brizk (création de profil Linkedin) et Vincent Flibustier (fake news et réseaux sociaux) ainsi que des représentants de Robert Half, PwC, travaillerpour.be et Iboo jobs.
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La voix, les neurones de la lecture, le langage chez l’enfant ou encore la validation auprès de la personne atteinte de démence, ce ne sont pas les thèmes qui manquent au programme des « Café logo ».
Un concept pour le moins original qui a vu le jour il y a quelques années au sein de la section logopédie de la HERS. « Café pour le côté convivial et ouvert. Toute personne intéressée par le thème abordé est la bienvenue. Les conférences sont gratuites. Et logo, pour les thèmes qui ont un lien direct ou indirect avec le domaine de la logopédie », explique Chantal Deroanne, coordinatrice des stages.
Au fil des années, de nombreux invités se sont succédé à l’affiche de ce rendez-vous. Le Café logo « permet donc à toute personne de se familiariser avec des thèmes variés et de peut-être s’intéresser ensuite à des formations plus précises organisées par la Haute École ».
Et pour cette année académique 2023-2024, le programme s’annonce attractif. Le premier rendez-vous aura lieu le mardi 28 novembre à 20h sur le campus de Libramont. Le Dr Paule Philippe, pédopsychiatre, abordera le thème du sommeil chez les enfants. Elle notamment participé à une recherche sur cette thématique.
Deux autres conférences auront lieu en 2024. La première, le mardi 26 mars, abordera le trouble du spectre autistique, elle sera animée par Joseph Schovanec. Chroniqueur radio et télé en France et en Belgique, ce philosophe et écrivain, atteint du syndrome Asperger, milite pour la dignité des personnes autistes et pour une société plus inclusive.
Pour le second rendez-vous, programmé le mardi 16 avril, le débat s’articulera sur « les Pôles territoriaux : les différentes missions ».
Le département des Sciences et technologies développe son offre de formations et proposera dès la rentrée prochaine un master en Gestion intelligente des bâtiments.
Ce nouveau cursus, qui sera organisé en codiplômation avec l’Hénallux, permettra aux titulaires de différents bacheliers d’approfondir leur formation et de se spécialiser dans le domaine du bâtiment.
Les titulaires de ce master disposeront d’une solide compréhension des technologies propres au bâtiment ainsi que des principes d’architecture, d’ingénierie du bâtiment et de la construction.
Particularité de cet enseignement, il se donnera en alternance entre Arlon et Virton. À noter encore qu’un tiers de la formation se fera en collaboration avec les entreprises (stage et travail de fin d’études).
Plus d’informations sur la formation via ce lien
Le département des Sciences et technologies a conclu un nouveau partenariat dans le cadre de la mobilité étudiante avec l’EPF Engineering School. Fondée en 1925, l’EPF, ex-École Polytechnique Féminine, est l’une des premières Grandes écoles en France à former des femmes au métier d'ingénieure. Présente à Paris-Cachan, Troyes, Montpellier, St-Nazaire et même Dakar au Sénégal, l’EPF accueille chaque année près de 2.400 étudiants.
Pour marquer l’événement, une délégation du campus troyen de l’EPF, représenté par Cécile Carnoy et Omar Saifouni, s’est rendue à Arlon pour finaliser le partenariat. Les premiers contacts entre l’EPF et la HERS remontaient à mars 2023 à l’occasion de l’APAIE (Asia-Pacific Association for International Education) de Bangkok.
Outre la visite des bâtiments, nos hôtes ont échangé avec Patrick Galliez, responsable des Relations internationales de la HERS, Yves-Dominique Franck, directeur du campus d’Arlon, Maureen Chamillard, Damien Lecart et Marc Durieux. Pour les étudiants de la section Ingénieur industriel, il s’agit d’une nouvelle perspective de mobilité intéressante.
Pour les personnes désireuses de participer au programme Erasmus+ et vivre un séjour à l’étranger, n’hésitez pas à contacter le Service des Relations internationales :
Cela fait maintenant deux ans que Philippe Dachelet, criminologue, médiateur et maître-assistant à la HERS, travaille sur la mise en place de groupe-classe au sein des Bac 1 de la section Bachelier infirmier responsable de soins généraux. Le but de cette initiative est de renforcer les coopérations et prévenir les « violences » au sein des différents groupes.
Chaque année, le constat est le même. Premier jour de rentrée, les étudiants entrent et s’installent dans l’auditoire. Les filles avec les filles, les garçons avec les garçons, les étrangers côte à côte, les doublants ensemble,… la classe est fragmentée en sous-groupes.
« Si cette façon de faire peut sécuriser les étudiants, cela va rendre les interactions ou coopérations difficiles voire impossibles au sein de la classe durant l’année académique », précise Philippe Dachelet.
C’est justement pour lutter contre cette fragmentation progressive du groupe, qui à terme peut conduire au harcèlement, au burn-out ou encore au décrochage, qu’un dispositif d’accompagnement a été mis en place au sein du département santé et plus particulièrement au sein de la section des soins infirmiers.
Généralement en début d’année, une rencontre est organisée au moment où les étudiants ne se connaissent généralement pas encore et découvrent leur nouvel environnement. « Ce dispositif privilégie les activités centrées sur l’interaction et la collaboration, cela renforce la confiance et la motivation de chaque étudiant, il peut ainsi mieux partager et exprimer son vécu. »
Avec le recul, cette façon de procéder a permis à une majorité de jeunes de mieux se relier, d’installer davantage de confiance entre eux, d’ouverture à l’autre, d’acceptation mutuelle et de mieux développer les compétences psycho-sociales.
À l’issue de cette journée «découverte », de nombreuses pistes d’action ont ainsi été identifiées par les étudiants : création de groupe sur les réseaux sociaux, échanges de notes, organisation de temps d’étude collectif, changement sporadique de place dans l’auditoire et bien d’autres initiatives.
« Ces compétences sont nécessaires pour améliorer le climat scolaire et renforcer les coopérations. Mon ambition est que l’ensemble des sections de la HERS puissent bénéficier d'un tel accompagnement », conclut Philippe Dachelet.
La défense du plurilinguisme dans le milieu scientifique était au cœur du Séminaire international de l’Université Mohammed V de Rabat qui s’est tenu début octobre. La science en français doit en effet relever de nombreux défis comme le soutien à la publication et aux revues en langue française.
Comment valoriser le français comme langue de communication scientifique ? Une journée de réflexion a donc été organisée sur le thème « Communication et médiation : la science en français en contexte plurilingue ». Différentes institutions, comme la représentation Wallonie-Bruxelles, ont rassemblé de nombreux partenaires institutionnels, des membres de la communauté scientifique et universitaire ainsi que le grand public.
Notre collègue Luc Canautte pris part à ce séminaire en tant que linguiste et didacticien du FLE (Français langue étrangère). «Par rapport à l’anglais, la situation du français en science n’est pas aujourd’hui fondamentalement différente de celle de l’allemand, de l’espagnol, de l’italien, de l’arabe ou du japonais », dit-il.
« Il ne s’agit pas de dénoncer l’usage de l’anglais ou de toute autre langue en science, bien au contraire. Il est essentiel que les scientifiques puissent communiquer entre eux. Cependant, l’emploi (quasi) exclusif d’une seule langue dans les communications scientifiques internationales pose des problèmes. »
Et le coordinateur qualité à la HERS d’insister sur l’aspect éthique. « Il importe de défendre le français dans les sciences au nom d’une éthique qui garantit la liberté de la recherche, évitant ainsi l’hégémonie d’une seule langue en matière scientifique et rééquilibrant les données de la communication mondiale. »
A charge de la francophonie de promouvoir les atouts de la langue française et d’en faire une référence dans le monde scientifique.